Il y a des obsessions qui conduisent au malheur. Lorsque Violette emménage avec son mari et leurs quatre enfants dans le vieux manoir abandonné dont elle a toujours rêvé, les portes d’une nouvelle vie idyllique s’ouvrent à eux. Mais quels secrets cache celle qui reste close ? Tour à tour, les six membres de la famille font l’expérience d’événements inexpliqués. Des perceptions étranges, des troubles du comportement anormaux, des pertes de mémoire troublantes… L’écho d’un passé prégnant résonne encore entre ces murs. De quoi ont-ils vraiment été le témoin ? De quoi le seront-ils ? Alors que s’élèvent les brumes vermeilles aux abords de la bâtisse, la survie devient leur seule option. Pour cela, il leur faudra percer les mystères qui se terrent à l’ombre du manoir.
Après un long sommeil dans son coin de forêt, le château de Loubet reprend enfin vie. Le temps d’un été, il accueille la création d’un opéra contemporain par de jeunes artistes venus de tout le pays. Absorbés par leurs ambitions, leurs conflits et leurs espoirs, Bassem, Thelma et Giulia ne voient pas les griffes de la demeure au passé macabre se refermer sur eux.
Seul le solitaire Gaspard soupçonne quelque chose : un certain Camille, un inconnu moqueur et invisible, s’est insinué dans les pages de son journal intime. Entre deux railleries, il le met en garde contre les dangers anciens qui rôdent dans les couloirs du château…
Découvrez un thriller fantastique haletant, où se croise une galerie de personnages modernes et attachants qui ne vous laisseront pas indifférents. Un roman où le surnaturel est au service de thématiques profondes et intimes.
Dans le royaume de Cendrelune, les dieux épient les pensées des hommes, et leur Exécuteur, l’Ombre, veille à condamner tous ceux qui nourriraient des envies de rébellion.
Or, il semble que certaines failles existent. À l’âge de 17 ans, Céphise ne vit en effet que pour se venger. Depuis qu’on l’a amputée d’une partie d’elle-même et privée de sa famille, elle ne rêve plus que d’une chose : s’affranchir de la tyrannie du tout-puissant Orion, Dieu parmi les dieux. Et contre toute attente, il se pourrait qu’elle ne soit pas seule…
On ne tombe pas amoureuse d’un inconnu. Au final, tu n’es rien de plus pour moi, Ash.
Le jeu dans lequel Ash et Sky se sont lancés, ils l’ont tous les deux perdu. Désormais séparés, ils sont persuadés qu’il est trop tard pour recoller les morceaux de leur histoire avortée.
À Bloomington, Sky est déterminée à avancer et refuse de se lamenter. À New-York, Ash tente de se relever, mais ses souvenirs reviennent le hanter et ses blessures se ravivent. Elle construit son avenir, il ressasse le passé.
Lorsque leurs chemins se croisent de nouveau, les non-dits menacent d’exploser. Peut-être que certains démons ne disparaissent jamais…
Sept ans après un massacre qui a décimé toute une famille, de nouveaux meurtres surviennent à Melbourne. Des homicides si sordides que la Sorcellerie de Chair, taboue depuis les grandes chasses qui ont déchiré le pays, est évoquée.
Pour Arabella Malvo, lieutenant de la brigade criminelle, ils s’avèrent particulièrement déstabilisants. Pourquoi les victimes lui ressemblent-elles comme des sœurs ? Le meurtrier la connaît-elle ? Pourquoi maintenant ?
Une chose est sûre : l’abîme qu’elle fuit depuis toutes ces années risque de s’ouvrir à nouveau sous ses pieds. Et cette fois, de l’engloutir pour de bon…
Il fut une époque pas si lointaine où Elvira Time n’était pas encore la chasseuse de vampires radicale, mais une ado normale. Enfin de qui se moque-t-on ? Elvira n’a jamais été normale, mais elle incarnait une joie de vivre palpable. Elle abordait l’aube du lycée en parfaite reine des élèves, fière et forte comme son père, l’impayable mercenaire qui surprotégeait sa fille, qu’il avait pourtant élevée au rang de tueuse. Une tueuse avec une soif de sang trop grande – un comble pour une chasseuse de vampires me direz-vous. L’impatience et l’impulsivité d’Elvira ont mis en marche des rouages qui n’étaient pas encore bien huilés, écrasant bon nombre de grains de sable dans l’opération… Je fus le témoin de sa descente aux enfers, un acteur de son combat pour ne pas sombrer, le spectateur de sa renaissance. Ces pages sont mes mémoires, le récit de ma vie, allié de la plus badass des héroïnes. Hier et à jamais, je serai son meilleur soutien. Je me nomme Jericho Kaynes et je serai toujours présent pour rattraper le Temps perdu.
Qui es-tu, Mulo ? Un bâtard, fruit de l’union d’un âne et d’une jument, ayant l’habitude d’ignorer les regards chargés de mépris. Quand on grandit dans un orphelinat, on apprend à encaisser les coups et les railleries.
Qui es-tu, Mulo ? Ignorant tout de ses origines, il n’a jamais pu répondre à cette question. Une lettre anonyme arrive pourtant un beau matin et prétend qu’il trouvera des éléments de réponse dans le casier d’une ancienne conserverie située sur une île.
Qui es-tu, Mulo ? Le héros têtu et tenace de ce polar animalier. Une vraie tête de mule.
Six ans plus tôt : Harmony est une jeune orpheline qui, parce qu’elle présentait des symptômes de dégénérescence neuronale, a été intégrée dans le programme de recherche du docteur Torres. Aujourd’hui saine et sauve, l’incroyable talent qu’elle a développé, la télékinésie, intéresse en revanche beaucoup une société militaire privée. Cette dernière évince rapidement William Torres du programme. Son objectif est clair : monter un camp d’entraînement afin de développer, pour son propre profit, les aptitudes d’Harmony ainsi que celles d’autres enfants potentiellement concernés.
Cette organisation arrivera-t-elle à faire de ces enfants des machines de guerre ? Mais surtout, William laissera-t-il Harmony courir un tel danger ?
Ce deuxième tome, je l’attendais impatiemment après la fin à suspense du premier tome. Malheureusement, il n’a pas répondu à mes attentes par rapport à l’intrigue. On découvre dans ce tome le passé d’Harmony : sa jeune vie dans un hôpital, puis son adolescence dans un centre de recherche, ce qu’elle a subi là-bas. Ce tome est une sorte de préquelle au premier volume. J’ai trouvé cela extrêmement frustrant.
Cette bande dessinée est toujours un plaisir visuel : si j’ai craqué la première fois, c’est entre autre parce que j’adorais les dessins et c’est toujours le cas. Les illustrations sont belles, dans un style assez arrondi et dans des tons assez clairs. La couverture est un peu moins parlante que celle du premier tome car on ne connait encore aucun des personnages présentés dessus à l’exception d’Harmony.
Deux nouveaux personnages importants font leur apparition : deux jeunes enfants. Tout comme Harmony, ils ont développé des pouvoirs psychiques. Un lien spécial – unique – se créé entre les enfants qui subissent ensemble les entraînements intensifs du centre. J’ai hâte de voir comment cet unisson particulier va se transformer dans le futur ! On apprend également à connaître l’ennemi et ses objectifs, ainsi que le mystérieux inconnu qui a recueilli Harmony dans le tome 1. Des éléments de l’histoire se résolvent mais beaucoup de questionnements s’ajoutent également.
La fin est selon moi en désaccord avec la fin du premier volume. La dernière planche de ce deuxième tome coïncide avec la suite du tome 1, mais on n’a pas l’impression de retrouver la même Harmony qu’on a quittée dans le tome précédent : elle semble méchante, pleine de rage et de colère alors qu’elle paraissait avant forte et douce à la fois. Son humanité semble l’avoir quittée alors qu’elle semblait l’avoir regagnée à la fin du tome 1.
Un tome qui emmène le lecteur dans le passé d’Harmony. J’aurais personnellement largement préféré continuer l’histoire et découvrir ce passé via des flash-backs. Les dessins restent beaux, et l’histoire intéressante, mais la façon de la mettre en place m’a déçue.
#FungiLumini
Bonus
Comme le tome un, le tome deux d’Harmony est associé à une bande musicale composée par Thomas Kubler.