Le grand roman des maths

Titre : Le grand roman des mathsLe grand roman des maths

Auteur : Mickaël Launay

Éditeur : J’ai lu

Genre : Documentaire

Nombre de pages : 316

Mots-clés : mathématique, histoire, vulgarisation, scientifique

Quatrième de couverture

La plupart des gens aiment les maths. L’ennui, c’est qu’ils ne le savent pas.

Dans les temps préhistoriques, les maths sont nées pour être utiles. Les nombres servaient à compter les moutons d’un troupeau, la géométrie à mesurer les champs et tracer des routes. Au fil des siècles, les Homo sapiens furent bien étonnés de découvrir les chemins sinueux de cette science parfois abstraite, d’une richesse à couper le souffle.

Vous découvrirez que les mathématiques sont belles, poétiques, surprenantes, jubilatoires et captivantes. Le nombre p est fascinant. La suite de Fibonacci et le nombre d’or nous entrainent sur des pistes inattendues. Les équations nous mettent au défi et l’infiniment petit vient délicieusement gratter notre esprit de ses paradoxes.

Si vous n’avez jamais rien compris aux maths, s’il vous est même arriver de les détester, que diriez-vous de leur donner une seconde chance ? Vous risqueriez d’être surpris…

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La Vérité sur l’Affaire Harry Quebert

Titre : La Vérité sur l’Affaire Harry QuebertHarry quebert

Auteur : Joël Dicker

Éditeur : Editions de Fallois

Genre : policier

Lu en format numérique

Nombre de pages : 660

Prix reçus : Grand prix du roman de l’Académie française 2012, Prix Goncourt des lycéens 2012, prix littéraire de la Vocation 2012, Prix Audiolib 2013

Mots-clés : écrivain, enquête, amour, Etats-Unis, livre

Quatrième de couverture

À New York, au printemps 2008, lorsque l’Amérique bruisse des prémices de l’élection présidentielle, Marcus Goldman, jeune écrivain à succès, est dans la tourmente: il est incapable d’écrire le nouveau roman qu’il doit remettre à son éditeur d’ici quelques mois. Le délai est près d’expirer quand soudain tout bascule pour lui : son ami et ancien professeur d’université, Harry Quebert, l’un des écrivains les plus respectés du pays, est rattrapé par son passé et se retrouve accusé d avoir assassiné, en 1975, Nola Kellergan, une jeune fille de 15 ans, avec qui il aurait eu une liaison. Convaincu de l’innocence de Harry, Marcus abandonne tout pour se rendre dans le New Hampshire et mener son enquête. Il est rapidement dépassé par les événements : l’enquête s’enfonce et il fait l’objet de menaces. Pour innocenter Harry et sauver sa carrière d écrivain, il doit absolument répondre à trois questions : Qui a tué Nola Kellergan ? Que s’est-il passé dans le New Hampshire à l’été 1975 ? Et comment écrit-on un roman à succès ?

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Trois

TroisTitre : Trois

Auteur : Sarah Lotz

Éditeur : Pocket

Genre : Science-fiction

Nombre de pages : 565

Traduit de l’anglais par Michel Pagel

Titre original : The Three

Mots-clés : crash, avion, survivants, religion, Apocalypse, complot, extraterrestres

Quatrième de couverture

Jeudi noir sur la planète : quatre avions de ligne viennent de s’écraser aux quatre coins du globe. Troublante coïncidence… D’autant que sur trois des sites, les secouristes découvrent un rescapé. Chaque fois, un enfant. Chaque fois, sa survie tient du miracle.

La presse internationale s’empare de l’affaire, il n’est bientôt plus question que des « Trois ». Certains fanatiques religieux voient même en eux l’incarnation des cavaliers de l’Apocalypse, à ce détail près qu’ils devraient être quatre…

Dans le même temps, les familles qui ont recueilli les enfants sont confrontées à des évènements étranges. Mais qui sont au juste ces enfants ? Et que veulent-ils ?

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Orphelin des mots

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Titre : Orphelin des mots

Auteur : Gérard Louviot

Éditeur : Le Livre de Poche

Genre : Témoignage

Nombre de pages : 284

Mots-clés : Illettrisme, apprentissage, lecture, écriture, difficulté, force, courage

 

Quatrième de couverture

Ne pas savoir lire, c’est comme ne pas pouvoir respirer. C’est se battre pour se frayer un chemin, ruser, contourner, encaisser. Une souffrance inimaginable. Gérard a grandi en Bretagne, dans une famille d’accueil. Enfant, il est incapable de retenir une leçon et d’apprendre à lire. Tétanisé par la honte, il doit affronter les moqueries et les vexations. Adulte, sa vie devient un parcours du combattant, d’autant plus qu’à son handicap s’ajoute la peur d’être démasqué comme illettré. À 35 ans, il ose se confier à son patron. Touché par la souffrance de cet homme, le chef d’entreprise lui offre la possibilité de prendre des cours. Plus qu’une libération, c’est une renaissance. Pour la première fois, un livre raconte cette humiliation qui condamne, en France, près de 3 millions d’illettrés à vivre à l’écart de la société.

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Project Viper : 1. Rising

project-viper,-tome-1---rising-1037664-264-432Titre : Project Viper : 1. Rising

Auteur : Ellen Raven Martin

Éditeur : ERA éditions

Genre : Science-fiction, cyberpunk

Nombre de pages : 304 (pour la version  imprimée)

Lu en format numérique

Mots-clés : cyberpunk, guerre, cyborgs, rébellion, projet, Viper

Quatrième de couverture

Le temps est venu pour un nouvel ordre mondial. Les conflits armés font le bonheur des marchands de mort, membres de l’organisme qui chuchote à l’oreille des grands de ce monde. On crache sur son nom : Conglomérat, tout comme on s’incline face à son gigantisme. Des cendres des États-Unis est née la Fédération, amalgame de quatorze Districts gouvernés par la despotique et non moins sulfureuse Présidente Erika Lawson. Face à la rébellion qui fait rage, celle-ci doit prendre des mesures drastiques. Le Conglomérat se rencontre à l’occasion d’un nouveau sommet. Il décide de lui fournir l’avenir. Cyborgs de guerre ou machines douées d’une âme humaine, le nom de ces créatures reste incertain. Une chose est certaine : ce sont des Vipers. Car tous sont membres du Project Black Viper.

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Semaines spéciales Halloween

Everyday is Halloween

Retrouvez ci-dessous toutes nos chroniques classées par année sur le thème d’Halloween lors de la semaine spéciale !

2017

• L’Esprit de Lewis – Acte 1
Dark Museum, #2 Le Cri
Gravity Falls : Journal 3
• Billy Brouillard, Les comptines malfaisantes – coffret 1
• Miss Zombie – Détective décharnée

2016

Dreamworld
Dark Harvest
L’épouvantable peur d’Épiphanie Frayeur
Un amour de zombie
La Fabuleuse Histoire de Jack O’Lantern

Parents à perpétuité

parents à perpet

Titre : Parents à perpétuité

Auteur : Sophie et Dominique Moulinas

Éditeur : J’ai lu

Genre : Témoignage

Nombre de pages : 313

Mots-clés : meurtre, histoire vraie, procès, viol, maladie mentale

 

Quatrième de couverture

« Nous sommes les parents d’un tueur et d’un violeur. Nous sommes pétris de honte, de chagrin, de culpabilité. Pourtant nous aimons notre fils. Nous restons ses parents. À perpétuité.

Le 16 novembre 2011, Matthieu a violé puis assassiné Agnès Marin. Elle avait treize ans, lui dix-sept. Seize mois plus tôt, il avait violé une camarade de classe puis avait été remis en liberté dans l’attente de son jugement. Nous voulons, ici, essayer de comprendre. En remontant le fil de notre histoire, de nos décisions, bonnes ou mauvaises, sans rien omettre ni cacher. En parlant du système judiciaire et des ratés des expertises psychiatriques. En parlant de notre fils. Car avant de devenir un criminel, il était un enfant malade. »

Mon avis

Quand j’ai vu la couverture, j’ai tout de suite été intriguée. Je l’ai encore plus été en lisant la 4e de couverture, je n’ai donc pas hésité une seule seconde : je l’ai acheté. Aussitôt acheté, aussitôt lu même si ce n’était pas une lecture facile. D’ailleurs,  je tiens, d’avance, à m’excuser auprès des gens que je pourrais choquer par mes propos sur un sujet aussi délicat.

Resituons clairement les faits pour ceux qui n’auraient pas suivi l’histoire à l’époque : Matthieu est un adolescent qui a violé, à l’âge de 16 ans, une de ses camarades puis, un an plus tard, a violé, torturé et tué une élève de son école. Il a été arrêté et inculpé. Il a été condamné à la perpétuité. Dans ce livre, les parents de Matthieu nous explique comment Matthieu était enfant mais aussi surtout comment il était lors des faits. Je crois sincèrement que leur démarche était simplement de comprendre et d’expliquer les choses au grand public. Néanmoins, je comprends également que les parents d’Agnès Marin (la deuxième victime de Matthieu) n’ait pas apprécié qu’un tel livre voit le jour. Je dois d’emblée avouer qu’il y a des moments où, moi-même, je me suis demandée si les parents n’essayaient pas de justifier les faits de leur fils ; ce qui m’a clairement dérangée. Qu’on veuille expliquer les choses, oui, mais justifier des faits aussi graves par une maladie, non. Je reviendrai sur ce point plus tard.

En lisant ce livre, je suis passée par plusieurs émotions mais je pense que le sentiment qui ressort le plus est l’incompréhension. Non seulement je ne comprends pas comment un être humain peut faire subir de telles atrocités à quelqu’un d’autre mais également comment les rouages de la justice ont pu échouer à ce point. Pour moi, avec la vision incomplète – bien évidemment – qu’offre ce livre de la situation, il me semble que les premiers psychologues ont échoué dans leur diagnostic. Bien que je ne sois pas psychologue ou psychiatre, j’ai du mal à comprendre pourquoi le fait que Matthieu ne regrettait pas ses gestes n’ait jamais interpelé les professionnels plus que ça. Ses parents le disent d’ailleurs clairement : « il est apparu clairement que Matthieu ne regrettait pas d’avoir violé et tué une jeune fille sinon pour les conséquences de son crime sur notre vie de famille ». C’est aussi ce manque de regret qui me dérange un peu dans la persuasion de la famille et/ou des médecins à dire que Matthieu est malade parce que je ne pense pas que la maladie mentale puisse justifier un tel carnage. Personnellement, j’ai trouvé ce point très délicat à juger et très honnêtement, je n’aurais pas aimé être à la place des médecins ou des juges dans cette histoire.

Plusieurs questions sont également évoquées à travers de ses pages notamment celle de la deuxième chance. Il s’agit évidemment d’un débat très complexe pour lequel chacun des cas est différent. Il est facile de dire, après la lecture du livre – ou après les faits, que si l’État, les juges et les médecins n’avaient pas laissé de deuxième chance à Matthieu, Agnès serait toujours en vie. Cela dit, la justice et la psychologie devraient tenir compte de ce genre de cas pour traiter les cas futurs qui pourraient y ressembler. La question de la pertinence journalistique est également évoquée. En effet, Dominique Moulinas nous raconte ce que certains journalistes inventaient à leur propos. Personnellement, non seulement, je trouve cela aberrant d’écrire des âneries et profiter de la souffrance de tous – autant les familles des victimes et la famille de Matthieu – pour faire vendre son petit journal mais d’un point de vue éthique et déontologique, c’est juste dégueulasse ! Heureusement que certains journalistes ont encore un peu de décence.

Je dois avouer que j’ai également été choquée de certains propos tenus dans le livre donc celui-ci « L’analyse du médecin est la suivante : « Il ne savait pas s’il aurait le courage de violer sa camarade. » » J’ai envie dire : LOOOOL ! Sérieusement, comment peut-on dire qu’il faut du courage pour violer quelqu’un ?! S’il existe bien un acte de lâcheté, c’est celui-là ! Je n’ai pas non plus apprécié la façon dont le père de Matthieu présente les faits quand il essaie de trouver une nouvelle école à son fils, il répète sans cesse que Matthieu a commis « une agression sexuelle », or, je trouve que par respect pour la victime, il pourrait dire « viol ». Certes le terme est bien pire mais au moins, c’est la vérité. Ici, j’ai eu l’impression qu’il minimisait les faits et ça ne m’a pas du tout plu. Je peux comprendre que ce soit difficile pour les parents de présenter leur fils de cette façon, surtout quand ils cherchaient un établissement pour leur enfant mais vis-à-vis de la victime, ce n’est pas très juste. En parlant d’école, le directeur qui a accepté de donner une chance à Matthieu pour finalement dire qu’il ne savait pas que le garçon était condamné pour « agression sexuelle », quelle grosse blague ! Je comprends qu’il protège son école mais quand même, il faut assumer ce que l’on fait. À la lecture, nous comprenons bien que les parents n’en veulent pas (trop) à ce directeur de fuir ses responsabilités mais, à leur place, je pense que ça m’aurait mis dans une rage folle.

Au final, Matthieu a donc été condamné à perpétuité, et voici ce que dit Dominique Moulinas à ce sujet : «  Perpétuité une fois, perpétuité deux fois, adjugé. Et maitre Szpiner a pu claironner qu’il avait gagné. Apparemment, pour la société, admettre que Matthieu est malade, voire complètement taré, revenait à le disculper. Mais qu’avait-elle à perdre en reconnaissant qu’une pathologie lourde atteint son cerveau, alterne son discernement et le pousse à commettre des horreurs ? Il a vingt-deux ans, il est sous traitement psychiatrique lourd, il suit des thérapies, il bénéficie d’une allocation adulte handicapé. Et la justice a mis sa maladie de côté. Elle a fait comme si elle n’existait pas. » J’ai préféré remettre ici tout le passage parce qu’il m’a marquée. J’ai envie de répondre à Monsieur Moulinas que la société n’a pas voulu l’admettre parce que les crimes sont trop graves et parce que si la maladie peut expliquer les faits, elle ne les justifie en rien. Je sais que les parents répètent dans le livre qu’ils ne veulent pas justifier les atrocités commises par leur fils mais ici, c’est ce qu’il ressort. Il y a plein de malades mentaux qui ne violent, ne torturent et ne tuent pas de pauvres innocentes. Après, je suis d’accord avec eux sur le fait que leur fils devrait être suivi par un corps médical compétent et qu’il ne devrait pouvoir bénéficier d’une libération que si les médecins le jugent guéri et sain d’esprit.

Citations

« Nous sommes tous impardonnables, certainement, aux yeux et au cœur des parents de cette enfant. Nous les comprenons. Nous ne nous pardonnerons jamais, qu’ils en soient bien certains, la mort atroce de leur fille. Leur chagrin nous hante. Pourtant, nous restons les parents du meurtrier d’Agnès. Et cela, cela au moins, qu’ils nous le pardonnent : notre fils, nous l’aimons toujours. Nous ne savons pas ne pas l’aimer. Nous n’essayons même pas. Ce serait peine perdue. »

« […] mais il lui aurait permis d’être en charge en milieu médicalisé plutôt qu’en milieu carcéral. Sa vie n’aurait pas été plus confortable, il n’aurait pas été moins coupable des deux crimes qu’il a commis, mais il aurait été mieux soigné. Et il n’aurait pas eu la moindre chance d’être relâché avant que la médecine le considère comme guéri. »

Conclusion

Cette lecture ne fut pas une lecture facile, plaisante et distrayante mais elle fut enrichissante en bien des domaines. Elle nous fait réfléchir sur la société et ses problèmes, sur la justice, ses compétences et ses incompétences. Elle nous plonge dans l’univers de la famille détruite par les crimes d’un de ses membres. Sophie et Dominique Moulinas nous montre également une autre facette de Matthieu, leur fils aimant et toujours là pour ses sœurs, sans pour autant nous cacher l’adolescent qui a commis des actes ignobles. Je ne peux que recommander ce livre en précisant toutefois que si le livre est évidemment basé sur la famille Moulinas, le respect pour les victimes et leur famille reste indispensable au moment de la lecture.

coup de coeur

#Coco

Mr. Mercedes

MrmercedesTitre : Mr. Mercedes

Auteur : Stephen King

Éditeur : Lgf – Le livre de Poche

Genre : Thriller/policier

Nombre de pages : 661

Traduit de l’anglais (États-Unis) par Océane Bies et Nadine Gassie

Titre original : Mr. Mercedes

Prix reçu : Prix Edgar-Allan-Poe du meilleur roman en 2015

Mots-clés : tueur, meurtre de masse, crime, policier, retraité, attentat, voiture bélier

Quatrième de couverture

Midwest, 2009. Dans l’aube glacée, des centaines de chômeurs en quête d’un job font la queue devant le salon de l’emploi. Soudain, une Mercedes fonce sur la foule, causant huit morts et quinze blessés dans son sillage. Le chauffard, lui, a disparu dans la brume, sans laisser de traces. Un an plus tard, Bill Hodges, flic à la retraite qui n’a pas su résoudre l’affaire, reste obsédé par ce massacre. Une lettre du « tueur à la Mercedes » va l’empêcher de sombrer dans la dépression qui le guette.

Mon avis

Décidément, je ne me lasse pas des Stephen King. Encore une fois, j’ai dévoré ce livre et je n’ai pas pu le lâcher des mains avant de l’avoir terminé. L’histoire est celle de l’ex-officier Bill Hodges, parti à la retraite il y a quelques temps. Mais comme beaucoup d’ex-policiers, il ne peut s’empêcher de penser aux enquêtes non résolues et en particulier celle du tueur à la Mercedes. Et dans ce cas particulier, le criminel ne peut pas non plus oublier Bill Hodges. Il va donc le recontacter et de là découlera une enquête officieuse mais passionnante.

Le personnage de Bill est exactement ce qu’on imagine quand on pense au vieux policier à la retraite. Il fait partie de ces catégories de personnes qui n’arrêtent jamais vraiment de travailler tellement ils ont leur travail dans la peau mais c’est un homme bienveillant et surtout intelligent. Jerome est un jeune homme noir qui effectue parfois quelques tâches pour Hodges mais qui semble toujours ravi de le faire. Il est également intelligent et plein de ressources, raison pour laquelle il va se retrouver à aider Bill sur l’enquête. J’ai d’ailleurs beaucoup aimé le second degré dont il fait preuve, notamment vis-à-vis de sa couleur de peau. Le tueur est, somme toute, un criminel assez « banal » étant donné sa personnalité. Je m’explique : l’homme a souffert depuis tout petit de mauvais traitement tout en entretenant une relation malsaine avec sa mère. Puis un jour, un terrible « accident » est arrivé et depuis ce jour, la personnalité de l’homme n’a fait que se détériorer jusqu’au moment où il a décidé de commettre son attentat à la voiture bélier. Une chose que j’ai beaucoup appréciée est justement le fait qu’on sache qui était le tueur dès le début mais également l’insertion dans son esprit par laquelle King nous dévoile ce qui l’a transformé en meurtrier de masse mais qui nous permet aussi de comprendre ou du moins essayer de comprendre ces motivations.

Malheureusement, les évènements cités dans le livre – l’attaque avec la voiture bélier et l’attentat dans un concert pour jeunes filles/adolescentes – ne font que nous rappeler les tristes drames de l’actualité même si les revendications sont différentes. Sachant que le livre a été publié en 2015 (pour la VO), nous voyons encore à quel point King peut être visionnaire mais aussi à quel point il vit avec son temps.

Malgré l’évocation de faits aussi tragiques et bien que la résolution de l’enquête ne soit pas surprenante – dans le style policier – j’ai été totalement happée par l’histoire. L’écriture de Stephen King est toujours un réel bonheur à lire et à redécouvrir. Le style est fluide, les chapitres bien construits et surtout nous ne nous perdons pas dans le l’histoire. Un vrai plaisir.  

Conclusion

Je recommande ce livre à tous, en signalant toutefois que si vous n’êtes pas très fan du style policier, il se peut que vous ne soyez pas aussi emballés que moi par cette lecture. Par contre, tous les amateurs du genre et de King seront, à n’en pas douter, ravis de leur lecture.

coup de coeur

#Coco

#62 C’est lundi! Que lisez-vous?

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Ce que j’ai lu:

cave

13 reasons why

Shadow house

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Comme beaucoup, j’ai été pas mal occupée ces derniers temps et ça fait longtemps que je n’ai pas écrit, je vais essayer de m’y remettre vu que j’ai tout de même quelques romans à chroniquer 😀

Ce que je lis en ce moment:

parents à perpet

project viper rising

brooklyn-paradis-saison-2-chris-simon

Ce que je compte lire:

Je ne sais pas trop ce que je compte lire, j’ai toujours envie de lire « Le piège de Lovecraft » et la « Fille d’avant » mais mon avis pourrait changer selon ce que je vois de beau en librairie 😀

Et vous?

Quelles sont vos lectures actuelles? Que comptez-vous lire par la suite? Dites-le nous en commentaire 🙂

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Le Bureau des Jardins et des Etangs

Asylum

La fille derrière la porte

Livres et Gourmandises : Bal Masqué (2/16)

#Coco